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TENDANCES IMMOBILIÈRES : À la conquête de l’Ouest !

Porté par la recherche de verdure et d’espace des acquéreurs, le marché de l’Ouest Lyonnais est en pleine croissance !

Publié le 2 août 2022

Le marché de l’Ouest Lyonnais est en pleine croissance, et nul acteur immobilier ne vous dirait le contraire ! Encore moins Marian Martinet de l’agence Acqueducs Immobilier située à Chaponost, secteur particulièrement prisé.  « Nous avons une très importante demande et beaucoup de biens à vendre. Seul bémol, les prix de vente, souvent surestimés, et donc des budgets qui ne sont pas accessibles à tous, loin de là ! Ajoutez à cela une conjoncture anxiogène, des banques de plus en plus frileuses pour accorder des prêts immobiliers et des taux d’emprunt à la hausse et vous comprendrez que malgré tout, le marché, même s’il est en croissance est compliqué ! »

Il est vrai que les prix dans l’Ouest Lyonnais ont connu une impressionnante hausse ces deux dernières années. « Notamment à Chaponost qui est de plus en plus convoitée. Un terrain de 1446 m2 non viabilisé s’est ainsi vendu dernièrement 710 000 €. » Autres communes qui séduisent de plus en plus d’acquéreurs : Francheville, Tassin la Demi-Lune, Charbonnières-les-Bains, Sainte-Foy-Lès-Lyon, Saint-Genis-Laval ou encore Brindas…

Leurs atouts : une proximité avec Lyon, l’accès aux axes routiers et aux transports en commun et surtout une qualité de vie. « Dans ces communes, il y a de plus en plus de commerces et d’infrastructures qui se développent et permettent aux habitants de trouver tout sur place » souligne Mme Colombat. Et entrainés par le marché, certains secteurs plus éloignés ont désormais la cote, comme Dommartin, L’Arbresle…

Un constat partagé par Bernard Sbrava de l’Agence immobilière lyonnaise, située à Soucieuxen Jarrez : « Depuis quelques temps nous avons une demande plus forte sur des communes comme Saint-Martin-en-Haut, Rontalon, La Chapelle sur-Coise…, avec des prix plus accessibles notamment pour les primo-accédants. Ailleurs, le marché est actif mais aussi beaucoup plus stable. Si des biens sont surestimés, quelques mois après la mise en vente, les propriétaires acceptent une baisse de 5 à 8 % et les biens se vendent, alors très rapidement. »